Nous partirons d’un court article de Nicholas Georgescu Rœgen, «De la science économique à la bio-économie», publié par Antoine Missemer dans Nicholas Georges Rœgen, pour une révolution bioéconomique, ENS éditions.
Il s’appuiera sur l’interprétation que Barbara Stiegler, dans Nietzsche et la biologie (PUF), a proposée de la volonté de puissance comme tentative nietzschéenne de dépasser la subjectivité kantienne à partir des questions de la biologie telles qu’elles se posent après Darwin, et à l’époque de Nietzsche.